Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 22:13
En République Islamique d'Iran, ça se passe comme ça : 
 
On peut bien condamner les gens sans l’appui de la loi. Ainsi Madame Fatemeh Passandideh (Nadarkhani), épouse du pasteur Youcef Nadarkhani a été condamnée le 1 août dernier à la réclusion à perpétuité par le tribunal de Rasht pour crime de pensée.
Cette jeune mère de deux enfants a été en effet reconnue coupable d’« apostasie » dans un procès où elle n’a pas pu bénéficier de l’assistance d’un avocat.
Les autorités attendent de voir les réactions internationales avant d'agrraver la peine.  Cette condamnation n'étant qu'un prélude à une condamnation à mort.
 
La sentence lui a été communiquée le 3 août 2010.
 
L’arrestation de Madame Fatemeh Passandideh, connue parmi les croyants sous le nom de « sœur Tina » visait initialement à accroitre les pressions sur son mari le pasteur Youcef déjà en prison depuis le 12 octobre 2009.

Pour les observateurs qui constatent une détérioration des conditions de vie des chrétiens suite au bras de fer entre les mollahcrates et l’Occident autour du dossier nucléaire, cette sentence reflète la colère des responsables iraniens suite à l’adoption par l’Union Européenne.
 
Il est à rappeler que les pasteurs Youcef Nadarkhani (l’époux de Fatemeh Passandideh) et Behrouz Khanjani se trouvent toujours en prison pour crime de pensée dans l’attente de sentences qui ne devraient pas être clémentes.
 
La condamnation de Tina Passandideh constitue une nouvelle étape dans la répression de la minorité chrétienne iranienne qui connait une grave érosion démographique depuis le début de la révolution, érosion aggravée ces deux dernières années suite à la volonté d’Ahmadinejad et de l’ayatollah Janati d’éradiquer le christianisme en Iran. 
 
Cette condamnation est d’autant plus inquiétante qu’elle ne se base sur un aucun texte juridique et qu’elle contredit une Constitution dont seule les principes allant dans le sens des droits du plus forts sont appliqués. 
 
Selon nos sources sur place, plus de 80% des chrétiens, toutes confessions confondues, ont fui l’Iran depuis l’avènement de la République Islamique.
 
source :
Mardi 3 août 2010 2 03 /08 /2010 13:30 
Partager cet article
Repost0
31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 22:46

En Somalie :

 

Quand Nurta Mohamed Farah a découvert la foi chrétienne, elle savait que c’était risqué d’y croire.  Le christianisme n’est pas le bienvenu à Bardher, la ville où elle habite dans le sud de la Somalie.  Néanmoins, l’adolescente a décidé de devenir chrétienne. Mais dès que ses parents ont su que Nurta avait décidé de quitter l’islam pour suivre Jésus, ils ont tout essayé pour la faire changer d’avis. 

 

Ils lui ont rappelé les conséquences de son choix, lui ont dit que c’était de la folie de changer de religion. Nurta n’a pas fléchi.  Ses parents se sont fâchés et l’ont battue sévèrement, mais cette jeune femme de 17 ans a continué à affirmer son attachement à Jésus. 

 

Devant ce refus, ses parents ont conclu qu’elle devait être réellement folle, et ils l’ont emmenée voir un médecin.  Nurta a été obligée de suivre un traitement pour troubles mentaux, mais ces médicaments se sont avérés inefficaces contre sa foi en Jésus-Christ.  Alors les parents de Nurta ne savait plus quoi faire avec une fille si rebelle, si obstinée. 

 

C’est ainsi que depuis le 10 mai 2010, Nurta est prisonnière chez ses parents.  Elle passe chaque jour à l’extérieur, attachée à un arbre, et la nuit elle est enfermée dans une petite pièce obscure. 

 

Nurta est très affaiblie par son épreuve, et gravement malade.  Pourtant, elle détient la clé de sa liberté physique : elle n’a qu’à renier Jésus pour être rétablie dans sa famille. 

 

Pourquoi reste-t-elle volontairement attachée à Jésus et, en conséquence, à cet arbre ?  Songe-t-elle que ce Jésus qu’elle aime est aussi  resté attaché à un arbre? Que son arbre était une croix.  Et c’est par amour … pour elle … qu’il y est resté.

 

Source :

Ecoutez le Podcast sur : http://www.portesouvertes.fr/informer/radio_detail.php?id=287

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 08:31
Pakistan : Tués alors qu’ils allaient être acquittés !

source : http://www.portesouvertes.fr/informer/filrouge.php?idelement=7945%C2%A0%C2%A0%C2%A0%C2%A0%C2%A0%C2%A0%C2%A0%C2%A0

 

 
Le corps de Rashid Emmanuel
devant l’hôpital de Faisalabad

Deux jeunes chrétiens ont été tués lundi alors qu’ils sortaient du tribunal de Faisalabad au Pakistan. Des hommes masqués ont tiré sur eux avant de s’enfuir.  Pourtant, les experts venaient de les innocenter des accusations de blasphème qui pesaient sur eux !

 

Tout a commencé par un feuillet comportant de graves diffamations à l’égard de l’islam et de Mahomet, sous la signature de Rachid et Sajid Emmanuel, deux frères de 32 et 30 ans. Les deux jeunes hommes ont donc été accusés de blasphème. Mais les experts ont prouvé que l’écriture des accusés ne correspondait pas à celle du feuillet : il s’agissait d’un coup monté.

 

Apprenant le double meurtre, les chrétiens du quartier sont sortis dans la rue crier leur colère, ce qui a dégénéré en affrontements. Un couvre-feu a été décrété. Le chef de police local et son adjoint ont été suspendus pour n’avoir pas assuré la sécurité de Rachid et Sajid.

 

Pendant leur procès, des musulmans avaient manifesté violemment à Faisalabad pour demander la mort des blasphémateurs. Et d’après la Fondation des Avocats Chrétiens du Pakistan, Rachid et Sajid avaient été torturés par la police.

 

Au Pakistan, la loi sur le blasphème ont déjà fait couler le sang. En août 2009, une rumeur de blasphème (*) avait poussé des extrémistes musulmans à incendier 50 maisons à Gojra et à tuer au moins sept chrétiens. Un mois plus tard, Robert Danish, un autre chrétien accusé de blasphème avait été assassiné.

 

Déjà en septembre 2009 :

http://www.portesouvertes.fr/informer/filrouge.php?idelement=7884

 

Au Pakistan, être victime d’une rumeur de blasphème peut coûter cher. Pour les extrémistes, il est facile de faire accuser les chrétiens sans disposer d’aucune preuve et ils ne s’en privent pas.

 

Ainsi, le 30 juillet, soixante familles chrétiennes de Gojra (50 km de Faisalabad) ont vu leurs maisons ravagées suite à des rumeurs de blasphème.

 

Un mois plus tôt dans le village de Bahmaniwala, district de Kasur, pas moins de 500 fanatiques se sont rués sur les habitations des chrétiens suite à un appel lancé depuis la mosquée, faisant au moins 7 morts.

 

Selon Napoleon Qayyum, responsable des opérations à l’association d’aide juridique CDI (Advocacy Developpment Initiative), Al Qaeda et ses ramifications sont probablement à l’origine de toutes ces attaques : « Les groupes d’Al Qaeda sont affaiblis depuis l’opération militaire le long de la frontière afghane. Ils essaient de regagner le soutien de la population. En excitant la haine contre les Etats-Unis et le gouvernement pakistanais, Al Qaeda monte les musulmans contre les chrétiens ».

 

Heureusement ces manœuvres ne marchent pas à tous les coups. Nous sommes le 4 septembre 2009, dans le Punjab, à côté du village mission de Chak 8-11-L, près de Chichawatni. Des femmes ont trouvé quelques feuilles du Coran déchirées et lancées sur la route. Effarées devant ce qu’elles considèrent comme un blasphème, elles apportent leur trouvaille à la mosquée de leur village. D’autres pages sont encore découvertes, jonchant le sol de l’église presbytérienne réformée du village de Chak.

 

Cela aurait pu finir en bain de sang, mais les responsables musulmans sont allés voir les chrétiens et leur ont dit qu’ils savaient que c’était un coup monté. Les 400 familles chrétiennes qui vivent au village de Chak n’ont donc pas été attaquées.

 

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 08:46
Les femmes yéménites disent non aux mariages précoces 
Par Delphine Minoui 24/03/2010
Victime d'un mariage forcé, Nojoud Ali a participé, ce mardi à Sanaa, à un rassemblement pour dire non aux mariages des fillettes yéménites.
Victime d'un mariage forcé, Nojoud Ali a participé, ce mardi à Sanaa, à un rassemblement pour dire non aux mariages des fillettes yéménites. Crédits photo : AFP
 
La promulgation de la loi votée pour protéger les petites filles, comme Nojoud, divorcée à 10 ans, n'est pas acquise. 
Quand elle est montée dans un taxi, ce mardi matin, Nojoud Ali a fièrement dit au chauffeur : «Emmenez-moi au Parlement !». Accompagnée de son grand frère Mohammad, elle a rejoint, vers 9 heures, les quelques centaines de protestataires rassemblés devant le Majlis an-Nuwad, pour dire «non» au mariage des fillettes yéménites. Dans la foule, elle s'est sentie toute petite, et pourtant si fière. «Je ne veux pas que d'autres enfants souffrent comme je l'ai fait», nous confie, par téléphone, la plus jeune divorcée de ce pays de la péninsule arabique où la tradition des noces précoces suscite actuellement une vive controverse. 
  

Deux ans, déjà, se sont écoulés depuis que cette fille au visage de poupon, mariée à un homme trois fois plus âgé qu'elle, osa se réfugier au tribunal de Sanaa, pour réclamer sa liberté volée. Elle n'avait que 10 ans. Depuis sa victoire inattendue, largement saluée par la presse locale et internationale, un tabou a été brisé. Inspirées par son courage, d'autres petites voix se sont élevées, et à ce jour deux autres épouses-enfants ont pu divorcer.

 

Les associations yéménites se servent, elles, de l'exemple de Nojoud pour mener, village par village, une vaste campagne de sensibilisation en province. Les autorités sont également plus disertes à ce sujet.

 

Selon un rapport du ministère des Affaires sociales publié l'année dernière, un quart des femmes yéménites se marient avant l'âge de 15 ans. Les raisons sont multiples : grande pauvreté, coutumes tribales et traditions religieuses invoquant l'exemple du prophète Mohammad, qui épousa Aïcha quand elle avait 9 ans…

 Pression des ultras du Yémen

 

À force de lobbying auprès des députés yéménites, les activistes féministes ont fini par obtenir, en février 2009, l'inimaginable : le vote, au Parlement, de l'augmentation de l'âge officiel du mariage, de 15 à 17 ans et l'imposition d'une amende d'environ 350 euros aux parents qui dérogent à la règle. Mais c'était trop beau pour durer.

 

Sous la pression d'une minorité active, menée par d'influents députés conservateurs, une demande de réexamen de la nouvelle loi empêche sa promulgation. «La polémique, qui dure depuis un an, est soudainement revenue sur le devant de la scène alors que le Comité constitutionnel, qui a hérité du dossier, doit se prononcer le mois prochain sur la conformité de la loi avec l'islam», explique Houria Mashour, la vice-présidente du Comité national des femmes.

 

Dimanche, ce sont d'abord les ultras du Yémen qui ont donné le ton, en organisant, devant le Parlement, un rassemblement de femmes voilées. «Ne bannissez pas ce qui a été autorisé par Allah», pouvait-on lire sur leurs pancartes.

 

Ce mardi, c'était au tour des partisans de la réforme de riposter, à l'appel de différentes ONG militant pour les droits des femmes. «Nous sommes des enfants, nous voulons pouvoir jouer et étudier», disait l'un des slogans prononcés lors de la contre-manifestation à laquelle Nojoud s'est rendue. «Notre combat n'est pas gagné d'avance, mais l'expérience prouve que la persévérance peut finir par payer», insiste Shada Nasser, son avocate.

 

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 10:38

ça ressemble à un laconique énoncé de presse, mais c'est la dure réalité pour ceux qui le vivent !

 

 

Cette semaine :
 

1. Maître Sarbazi, l’avocat du pasteur Youcef a déclaré que deux juges avaient déjà signé le « hadd », ce qui revient à reconnaitre le pasteur Youcef est passible de la peine capitale.

 

2. La chrétienne "Nahid" et le chrétien "Omid Kalibarnejad" ont été libérés.

 

3.La chrétienne Mariam (Fatemeh Torkkajouri) a pu discuter avec son père. Elle est toujours dans la section 209, « la prison dans la prison d’Evin ».

 

4. Nous n’avons toujours pas de nouvelle de Marco, maintenu dans l’isolement dans la « plaque 100 », la prison du VEVAK à Chiraz.

 

5.Deux chrétiens, Afshin et Mehdi devraient être libérés sous caution dans la semaine.

 

6. Nous avons appris que les Renseignements utilisent des substances pour extorquer des confessions aux chrétiens.

 

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 15:40

il n'y a pas que les chrétiens qui sont persécutés, souvent des intégristes islamistes, au nom du Dieu miséricordieux sont sans miséricorde envers des croyants musulmans qui n'ont pas leur lecture du Coran et leur pratique de l'islam. 

Source :

http://www.lefigaro.fr/international/2010/07/01/01003-20100701ARTFIG00691-triple-attentat-sanglant-au-pakistan.php

Au moins trente-cinq personnes ont été tuées dans trois attentats suicide visant le tombeau d'un saint de l'islam à Lahore, dans l'est du pays.

Un sanctuaire soufi de Lahore, dans l'est du Pakistan, a été visé jeudi par trois attentats suicide, tuant au moins 35 personnes et faisant 175 blessés. Les attaques ont été perpétrées au coeur de la vieille ville de Lahore, au mausolée de Data Darbar, qui abrite le tombeau du saint Hazrat Syed Ali bin Usman Hajweri, connu sous le nom de Data Ganj Bakhsh. Né à Ghazni, dans le centre de l'Afghanistan, il avait parcouru l'Asie du Sud au 11e siècle pour prêcher l'islam et convertir de nombreuses personnes, et est mort à Lahore en 1077.

 

«C'étaient des attentats suicide, nous avons retrouvé les têtes et des membres de deux kamikazes» , a expliqué Khusro Pervez, le plus haut responsable de la mairie de Lahore. «Nous tentons de savoir comment ils ont pu pénétrer ainsi sur les lieux en dépit d'un important dispositif de sécurité».

 

Les attaques de Lahore n'ont pas été revendiquées mais les talibans pakistanais alliés à al-Qaida, ainsi que des groupes islamistes qui leur sont liés, sont responsables d'une vague sans précédent d'attentats - suicide pour la plupart - qui ont fait plus de 3.400 morts dans tout le pays en trois ans. Ces derniers mois, leur cible principale est Lahore.

 

Il y a un mois, le 28 mai, plus de 80 personnes avaient péri à Lahore dans les attaques simultanées par des kamikazes lourdement armés de deux mosquées d'une secte très minoritaire de l'islam, les ahmadis. Après deux heures de combats, la police avait capturé deux assaillants. Un troisième avait fait exploser sa veste suicide.

Le 12 mars, un double attentat suicide visant des militaires, à Lahore également, avait fait 57 morts. Deux kamikazes s'étaient approchés de véhicules de l'armée et fait exploser leurs bombes à proximité d'un marché très fréquenté où les passants se pressaient dans les mosquées pour la prière du vendredi. Quatre jours auparavant, à Lahore toujours, un kamikaze au volant d'une voiture piégée avait pulvérisé un immeuble de la police, tuant 15 policiers et passants.

 

Plusieurs des précédentes attaques de Lahore avaient été revendiquées par le Mouvement des talibans du Pakistan (TTP), principal groupe d'insurgés islamistes, qui a fait allégeance à al-Qaida dès sa création en décembre 2007, et dont les fiefs sont les zones tribales du nord-ouest, frontalières avec l'Afghanistan.

 

 

Partager cet article
Repost0
27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 14:08

Utiliser un enfant pour en faire un soldat est un crime qu'en principe seuls les tyrans les plus pervers et les extrémistes religieux s'en arrogent le droit.

 

http://video.nytimes.com/video/2009/04/24/multimedia/1194839767942/children-of-the-taliban.html

 

Avec le trafic sexuel des enfants, ce crime est un des plus odieux . Et ce d'autant plus que ces enfants sont aussi des objets sexuels pour leurs "encadrement".

 

Mais si c'est un pays démocratique qui favorise leur enrolement que faire ?

sinon le dénoncer de toutes ses forces.

 

visionnez cette vidéo (en anglais) :

http://video.nytimes.com/video/2010/06/13/world/africa/1247468038532/somalia-s-child-soldiers.html

 

Voici une partie d'un article dénonçant cela :

 

Tout le monde sait que les rebelles islamistes de Somalie enrôlent des enfants sur les terrains de foot pour en faire des soldats. Mais Awil n’est pas un rebelle. Il travaille pour le gouvernement fédéral de transition somalien, pièce maîtresse de la stratégie américaine antiterroriste dans la Corne de l’Afrique. Selon les associations de défense des droits de l’homme en Somalie et des représentants des Nations unies, le gouvernement somalien – dont la survie dépend de l’aide de la communauté internationale – envoie des centaines d’enfants sur le front, dont certains n’ont pas plus de 9 ans.

On trouve des enfants soldats partout dans le monde, mais, selon les Nations unies, le gouvernement somalien fait partie des pays qui s’obstinent à violer la convention relative aux droits de l’enfant, au même titre que des groupes rebelles comme l’Armée de résistance du Seigneur [mouvement d’origine ougandaise composé à 80 % d’enfants et qui sévit notamment en République centrafricaine et au Sud-Soudan].

 

Les représentants du gouvernement somalien reconnaissent ne pas avoir été très regardants. Ils ont également révélé que le gouvernement américain leur apportait une aide financière pour rémunérer les soldats, une information confirmée par Washington. Ces enfants soldats sont donc payés par le contribuable américain.

 

L’ONU aurait offert au gouvernement somalien de l’aider à démobiliser ces enfants. Mais les dirigeants somaliens sont paralysés par des dissensions internes très graves et n’ont pas donné suite.

 

Plusieurs hauts fonctionnaires américains ont exprimé leurs inquiétudes et appelé leurs homologues somaliens à davantage de discernement. Mais ils reconnaissent leur impuissance à garantir que l’argent des Américains ne sert pas à armer des enfants. Selon l’UNICEF, seuls deux pays n’ont pas ratifié la Convention relative aux droits de l’enfant, qui interdit le recours aux enfants soldats de moins de 15 ans : les Etats-Unis et la Somalie.

 

Pour de nombreux groupes de défense des droits de l’homme, cette situation est inacceptable, et même Barack Obama, lors de sa campagne présidentielle, l’avait reconnu. “C’est ennuyeux de se retrouver aux côtés de la Somalie, un pays qui vit dans l’anarchie”, avait-il déclaré.

 

L'article complet ici

 http://www.courrierinternational.com/article/2010/06/23/des-enfants-soldats-payes-par-les-contribuables-americains

Partager cet article
Repost0
24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 17:46

Pour ceux qui demanderaient des preuves de la persécution des chrétiens en Iran,

 

C'est le site de "la Voix de l'Amérique"

 

Il faut télécharger à la date du 18 juin.


http://www1.voanews.com/persian/programs/tv/60782372.html


le lien vidéo
 
http://www.voanews.com/wm/voa/nenaf/pers/pers1530vFRI.asx

 

Désolé que ce soit en Persan, mais c'est une langue qui n'est pas inconnue de ceux qui arrêtent les chrétiens et qui disent que ce n'est pas vrai.

Partager cet article
Repost0
19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 19:13

L'Occident est présenté comme colonisateur oppresseur et coupable de tous les maux du tiers-monde.
Pourtant la répression par les gouvernements des pays des minorités ethniques et religieuse existe bel et bien et ne sont pas le fait des pays occidentaux qui sont bien souvent les seuls à prendre leur défense.

 

http://www.youtube.com/user/diddl2007#p/u/15/hw4WWg52ioc

 

Les 3/4 des persécutions sévères enregistrées sont dirigées sur les chrétiens, toutes confessions confondues. Seules les grands courants (catholique, orthodoxe) par leur historicité, bénéficient d'une relative protection par les alliances politiques que les hautes instances dirigeantes religieuses (Papauté et Patriarcats) ont initiées avec les dirigeants de ces pays.

 

En 2007 on dénombrait quelques 55 000 Chrétiens tués chaque année pour des raisons religieuses. Sur 2 milliards de personnes qui se réclament du christianisme, 150 millions doivent le faire au prix de contraintes sociales et adminisratives et parfois au péril de leur vie.

 

L’Arabie saoudite est exclue de ces statistiques car toute célébration chrétienne est purement et simplement interdite sous la Charia. les offices y sont célébrés de façon clandestine.

 

L’Inde, le Pakistan, l’Indonésie et le Soudan sont les pires endroits, la charia qui ne reconnait qu'une seule religion, l'Islam, l'impose à tous.  l’Irak, la Chine et les pays communistes en général, pour d'autres raisons que religieuse
En Inde; la situation des chrétiens s’est améliorée en 2009, sauf dans les états où le parti nationaliste hindou Bharatiya Janata (BJP) vitrine politique du mouvement extrémiste, encourage ou pour le moins tolère les actions violentes contre les chrétiens.


Il semblerait que ces fondamentalistes n’aiment pas la tendance qu'ont les Chrétiens à aider tout le monde et non pas seulement leurs membres. Ils y voient une volonté de convertir. Au Noël de 2008, à Orissa, des fanatiques hindous du RSS (Rashtriya Swayamsevak Sangh), ont fait des incursions laissant derrière eux sept morts et des centaines de maisons, d’églises et de dispensaires brûlés dans le district de Kandhamal.

 

En pays communiste, la persécution anti-chrétienne est en recrudescence ces dernières années. En Chine, à Cuba, en Corée du Nord et au Laos, le communisme existe toujours et la persécution des Chrétiens, bien que moins médiatisée est tout aussi dure qu'en terre d'Islam.

 

Plus près de chez nous, au Moyen-Orienten y compris en "Terre sainte" la situation demeure difficile. La souffrance des Palestiniens n'en est pas la seule cause, car il y a des chrétiens parmis eux.


C'est beaucoup plus le sort de Jérusalem, dont le nom signifie "Yerousalàyim, ville du Dieu Shalem" revendiqué par les musulmans pour devenir la ville exclusive de l'Islam, qui serait à l'origine des persécutions contre les chrétiens et la guerre contre Israël.

 

La particulière progression des évangéliques (on estime à 500 millions le nombre de chrétiens évangéliques dans le monde), motivé par leur effort "d'évangélisation" et leur action contre la pauvreté et l'analphabétisation,  sont appelés à devenir la plus grande religion du monde, bien avant les muslmans et les catholiques. Cela ne sera pas sans poser des problèmes de "cohabitation" dans des pays ou la religion est étatisée.

 

Cela nous appelle à regarder d'un peu plus près ce qu'enseigne la Bible, libre de référence des chrétiens, sur la persécution.

 

Cela fera l'objet du prochain article.

Partager cet article
Repost0
15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 18:12

Au Pakistan 250 chrétiens sont obligés de quitter leur maison !

« Nous ne sommes pas allés trouver la police car ici, porter plainte contre des musulmans est assimilé à un acte de blasphème et notre situation aurait été encore pire » raconte Khokhar, un des chrétiens du village n° 123/10R.

Dans ce village du district de Khanewal, province du Pendjab au Pakistan, 250 chrétiens ont reçu l’ordre de quitter leur village début juin.

Ces chrétiens y vivent dans une extrême pauvreté. Les femmes et les jeunes filles sont obligées de travailler pour de riches propriétaires terriens. Exaspérées d’être harcelées sexuellement par leurs employeurs, elles ont fini par se plaindre. Pour mettre fin à l’affaire, les chefs du village ont ordonné l’expulsion des chrétiens.

Pourtant ce sont des chrétiens qui ont fondé ce village dans les années 1950 avant d’être rapidement dépassés en nombre par les musulmans. Aujourd’hui ils forment une minorité persécutée, sans lieu de culte, ni cimetière pour enterrer leurs morts.

Source "Portes Ouvertes"

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : eleutherie
  • : Blog d'information de l'association "eleutherie", qui a pour objectif de promouvoir la liberté individuelle à travers le soutien de personnes – quelque soit leur nationalité et leur pays de résidence, dans l'esprit de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.
  • Contact

Notre motivation

"Celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre,

celui–là sera heureux dans son activité"

(Epitre de Jacques ch.1 v.25)

 

Recherche

Aidez les

Pour nous contacter

Catégories